Zane S. Aldrick
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Date d'inscription : 25/06/2010
 |  Sujet: (f) « Elle est pas méchante mais putain qu'est ce qu'elle est chiante »  Ven 25 Juin - 22:52 | |
| - Citation :
 @ damn good.« Il se peut qu'un enfant unique soit gâté, non pas tant en cadeaux qu'à cause du temps consacré à ses problèmes, mais croyez-moi, il y a des moments où il souhaiterait avoir un frère ou une soeur pour essuyer les chocs avec lui. » ▲ AT THE BEGINNING ▬ NOM: Aldrick, non négociable vu le lien !
▬ PRENOM: Lyla est le prénom que je lui ai attribué pour le scénario, mais il reste malgré tout négociable
▬ AGE: Une vingtaine d'années
▬ NATIONALITE: Naturalisée américaine, elle est originaire d'ailleurs (à faire concorder avec l'avatar choisi)
▬ AVATAR: Jessica Stam, négociable avec Katerina Graham ou encore Freida Pinto (du moment qu'elle ne fait pas typiquement américaine) ▲ TELL ME MORE ▬ CARACTERE: Drôle;attachante;pleine de vie;de fêlure aussi;souhaite toujours aller de l'avant;peu confiante;chiante;manipulatrice;sarcastique;sure d'elle;sauf quand ca la touche de trop prêt;voudrait être forte pour les autres;généreuse;mais parfois égoïste;et surtout très très maladroite.
▬ HISTOIRE: Le début de sa vie vous appartient. Il faut juste savoir qu'elle a été adoptée par le couple Aldrick alors qu'elle était âgée de trois/quatre ans, qu'elle a vécu depuis à Milwaukee aux Etats Unis, que leurs parents voyageaient beaucoup de part leur travail mais qu'ils étaient malgré tout relativement heureux. Du reste, libre à vous de savoir comment elle a évoluée.
▬ LIEN AVEC VOTRE PERSONNAGE: On a toujours plus ou moins été proche Lyla et moi. Lorsqu’elle est arrivé dans la famille, je n’ai pas fait de différence entre une naissance pure et dure et son débarquement. Tout ça, c’est la même chose. Et puis il fallait bien qu’on veille l’un sur l’autre, les fois où nos parents étaient en voyage. Voyages qu’ils nous en parfois fait partager, et qui nous on fait comprendre leur monde si précieux. Et puis elle connaissait Kitty, surtout. Cette jeune femme qui était ma meilleure amie mais que je ne nommait jamais ainsi, cette jeune femme que j’aimais d’un croisement étrange entre l’amour d’un frère et l’amour tout court, cette jeune femme que je n’ai pas pu sauvé. C’est à Lyla que je suis venu parler de la dépression de Kitty après que celle-ci ai trouvé sa mère morte. Et c’est Lyla qui m’a conseillé de rester avec elle, le plus possible. Alors, j’ai tout fait, tout pour qu’elle aille bien. Quitte à mettre ma vie de côté quelques temps, quitte à devenir le pire salaud du monde avec les autres, je devais me concentrer sur elle. D’accord ? « Zane ? Stop, stop ! Arrête, ça ne sert à rien, d’accord ? Elle est partie. Kitty est partie, et elle ne reviendra pas, quoi que tu fasses, quoi que tu dises… et je suis désolée. » J’avais cru vous savez. J’avas cru l’avoir sortie de là, l’avoir aidée. Pour moi c’était clair, elle avait beau avoir trouvée sa mère morte, elle allait mieux. Ca faisait deux ans, deux ans qu’elle mentait au monde entier en souriant et en avouant avec un grand et faux sourire qu’elle allait bien. Et même moi, j’ai fini par me faire avoir. Après cette triste découverte et la remise de nos diplôme, on s’était envolé pour Chicago. Je pensais vraiment que ça l’aiderait à tourner la page, à prendre un nouveau départ. Mais le fait est que cet appel, en plein milieu d’un cours d’anatomie élémentaire, cet appel m’a fait comprendre que j’avais eu tord sur toute la ligne. L’explication était flou, l’homme au bout du fil… des médicaments, de l’alcool, et le sommeil, éternel. Elle me laissait en plan avec comme seul remerciement une lettre, que je n’ai jamais réussit à ouvrir. Et une amertume telle que j’ai tout laissé tomber. Je voulais faire médecine pour aider les autres, vous comprenez ? J’ai même pas réussit à aider la seule personne que j’aimais et qui avait besoin de moi, alors… reste ma famille. C’est pour eux que je n’ai pas sombré. Les autres, je m’en fous, si vous saviez. Je crois que sa mort m’a rendu con. S’était il y a deux ans, pourtant, mais on a beau dire, le temps n’arrange rien. « C’est quoi ce sourire Lyla ? » « Je sens que tu vas m’adorer ! » « Ca sent surtout le plan foireux. » « Écoutes avant de juger ! Toi, moi, une île inconnue, du soleil, et du repos… t’en as besoin Zane. Il faut te sortir de cette ville, de cette vie. J’ai parfois du mal à te reconnaître, et si moi jte reconnais pas, qui pourra ? » « Arrête, c’est bon, stop. D’accord. » « De toute manière je te laissais pas le choix, les billets sont déjà pris ! » C’était sa manière à elle d’essayer de me sortir de ce train d’enfer que je m’étais donné. Travail à n’importe quelle heure, nuits des plus courtes, solitude forcée, le bon vieux stéréotype avait trouvé sa réincarnation, croyez moi ! Et encore une fois, ma sœur se bougeait pour me forcer également à le faire. Me faisant promettre que je ne penserais ni au boulot, ni à Chicago, ni à ce qui avait pu se passer dans nos vies es dernières années. Promesse que j’ai faite, parce qu’elle n’allait pas me lâcher, la connaissant. Et que je vais essayer de tenir, même si c’est plus facile à dire qu’à faire. Mais je le lui dois… croyez moi. | |
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